Verset du Jour:
La moisson est grande, mais il y a peu d'ouvriers. Priez donc le maître de la moisson d'envoyer des ouvriers dans sa moisson. (Luc 10:2)
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Nos Principes
Le ministère de l’évangélisation doit s’appuyer plutôt sur la parole de Dieu que sur les sentiments, les coutumes, les traditions humaines ou les philosophies humaines. Ainsi les membres du GBEF se résolvent de suivre les principes ci-après :
1. L'œuvre et les stratégies de faire des disciples de Jésus Christ seraient vaines sans la présence du Saint Esprit
Ce n’est ni par la puissance ni par la force, mais c’est par l’Esprit de Dieu (Zacharie 4:6).
2. La prière n’est pas seulement une option pour nous mais une nécessité, elle doit être notre mode de vie.
Notre ministère est bâti sur ce principe de prière dans toutes ses formes. En effet, la prière fut la manière de vivre de notre Seigneur Jésus Christ, que nous avons choisi de suivre et servir.
La prière ouvre les opportunités de répandre la bonne nouvelle (Colossiens 4:3). Elle oriente les évangélistes à ne pas se détourner de la bonne voie (Colossiens 4:4). Par la prière, la volonté de Dieu est faite sur la terre comme au ciel (Matthieu 6: 9-10).
Cela permet aux véritables ouvriers qui ne sont pas des loups d’entrer dans leur mission évangélique (Matthieu 9: 37-38). Nous faisons ainsi l’œuvre de Dieu dans la piété tout en portant de bons fruits qui honorent le Seigneur.
3. La parole de Dieu est au-dessus des cultures et des traditions humaines
Ce dont les peuples de toute race et culture ont besoin est la bonne nouvelle, à travers laquelle se révèle la justice de Dieu, par la foi et pour la foi (Romains 1:17). Même si le (la) missionnaire tient compte de la diversité culturelle de la région où il (elle) apporte la bonne nouvelle, il est important de garder l’authenticité des Saintes Écritures au-dessus des cultures humaines.
Certainement, les coutumes et les traditions humaines évoluent avec le temps, mais la parole de Dieu quant à elle, ne change pas. Par conséquent, les coutumes et les traditions sociales sont changées par les individus nés de nouveau et ayant une nouvelle mentalité. Le chrétien doit se séparer de toute coutume, de toutes mœurs ou traditions qui sont en contradiction avec la parole de Dieu, de la même façon qu’il se sépare du péché.
4. L’évangélisation face-à-face et la rencontre des gens à évangéliser en portant de bons fruits revêtent une importance capitale
Même si cette ère de technologie nous offre plusieurs opportunités de répandre la bonne nouvelle (radio, télévision, internet, livres), aucun de ces moyens ne peut remplacer l’évangélisation face-à-face. C’est par cette dernière que le (la) missionnaire porte de bons fruits qui accompagnent son message oral. Il (elle) incarne sa mission et collabore avec les croyants dans le chemin du salut.
5. Les missionnaires sont des croyants nés de nouveau qui manifestent la vocation et la capacité missionnaires
Les missionnaires envoyés à l’étranger doivent être des chrétiens affermis dans la foi, ayant le fruit de l’Esprit et la connaissance dans les écritures saintes. En d’autres mots, ils doivent remplir ce que la parole de Dieu prévoit dans 1 Timothée 3 :1-7 et Tite 1 :5-9.
6. Les missionnaires envoyés à l’étranger ont la responsabilité d’aider et d’implanter des églises évangéliques
Il existe différents dons de l‘Esprit pour les élus de Dieu, (les apôtres, les prophètes, les évangélistes, les pasteurs et les docteurs – Éphésiens 4 :11) mais tous sont envoyés en mission dans le même objectif de transformer les personnes en disciples de Jésus Christ et de continuer à leur enseigner à observer tout ce que Jésus a prescrit.
Évangéliser les gens ou un individu ne suffit pas, il est nécessaire que les nouveaux croyants forment ou soient intégrés dans une église locale indépendante, au sein de laquelle ils sont enseignés et affermis dans la parole de Dieu de sorte qu’ils répandent eux aussi le royaume de Dieu en transmettant la bonne nouvelle aux autres.
7. L’indépendance des églises établies par les missionnaires envoyés par l’Organisation GBEF doit être respectée
Quand les missionnaires envoyés par l’Organisation arrivent sur le terrain, dans des pays ou des régions visés par la mission, ils doivent faire en sorte que les églises établies localement soient indépendantes, sans toutefois contrevenir aux valeurs et à la doctrine de l’Organisation.
La gestion de ces églises doit revenir aux nationaux qui se soumettent à leur tour à l’autorité absolue de Jésus Christ qui est l’autorité suprême de l’Église. Il faut noter que l’Organisation n’a pas l’ambition d’être une association des églises fondées par ses missionnaires, mais aura une collaboration étroite avec elles tout comme avec d’autres églises ou associations ayant les mêmes objectifs et doctrines.
8. Le prix de la proclamation de la bonne nouvelle à l’étranger
Nous savons très bien que nous travaillons dans un monde obscur et que le temps qui précède le retour de Jésus Christ est difficile. Ainsi la mission qui nous a été assignée exige sacrifice et détermination. À cause de la bonne nouvelle de Jésus Christ, nous risquons la persécution. 9. L’Organisation n’est ni affiliée à une église, ni à un parti politique d’un pays quelconque Le nom de l’Organisation ne sera jamais utilisé pour le bénéfice d’une église quelconque ou un parti politique.
Il ne peut non plus être utilisé dans l’intérêt d’une association quelconque ou appuyer quelqu’un dans une campagne quelconque autre que la proclamation de la bonne nouvelle de Jésus Christ selon les valeurs et les doctrines de l’Organisation.
GBEF est une organisation missionnaire évangélique internationale régie par la législation belge. La personnalité juridique a été accordée à l’organisation le 19 mai 2022 par le décret WL 22/17.531.